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Aidrian norman Grahams « » Dimitri Vanderkoven

niveau scolaire : Aidrian a un bon niveau scolaire. Il ne travaille pas énormément mais juste assez pour avoir plus de la moyenne. type de baguette : Sa baguette est en bois de cerisier, elle mesure 23.1 centimètres et elle renferme un nerf de dragon animal de compagnie : Aidrian n'a pas d'animal de compagnie. D'ailleurs il est allergique aux poils de chats. forme du patronus : Son patronus est un bélier, peut-être est-ce du à son éternelle habitude de claquer les portes en sortant et même en entrant. forme de l'épouvantard : Son épouvantard est une caisse fermée sans aucune possibilité d'ouverture

et dans le futur : Aidrian s'en moque un peu de ce qu'il va faire plus tard pour le moment même si l'échéance est proche. Il se contente juste d'avoir de bons résultats pour ne pas être limité dans son choix. un truc de fou : Se baigner tout nu dans le lac ? impossible de... rester enfermé dans un endroit petit et sombre ou c'est la crise de nerfs assurée. gossip witch, t'en penses quoi ? Gossip Witch pour Aidrian est une jeune fille mal dans sa peau qui se défoule sur les autres. En effet, bien qu'il se soucie peu de l'avis des autres, Aidrian n'aime pas trop voir sa vie privée étalée dans ce qu'il appelle du papier toilette pour scrout.

▬ journal de bord d'un jeune sorcier




▬ troll ou licorne ?




▬ il était une fois ...



« Aidrian's color »
« Lili's color »
« Carmen's color »
« Jack's color »
« Stranger's color »


Chapitre un _ In the box

Trois septembre. Mariage de Carmen et Jack.

« Où est mon fils ? La cérémonie va commencer ! Par les mamelles de Morgane Jack ! Aide moi à chercher mon fils ! »


Carmen était sur les nerfs. Rien de plus normal lorsque vous allez vous marier, même si c'est pour la seconde fois. Il faisait beau, l'été était encore là. Les familles des futurs mariés étaient réunis et tous semblaient se réjouir de l'union qui allait être célébrée. Tous sauf deux : Lili et Aidrian. Ils étaient âgés de cinq ans et pourtant ils considéraient tous deux qu'un étranger allait s'immiscer dans leur vie. Lili restait pourtant calme et obéissante, elle avait tout de même tenter de dissuader sa mère de se marier par d'innombrables pleurs mais on avait fini par lui arracher la promesse de se tenir tranquille. Par contre, il avait été impossible de raisonner son jeune frère. Déjà impulsif et instable, il venait de se mettre à hurler juste avant que la cérémonie commence puis avait disparu ! Carmen était donc dans tous ses états. Elle hurlait pour retrouver son fils et devenait même vulgaire. Puis, seulement deux minutes avant l'heure prévue pour la célébration de mariage, Lili vint tirer la robe de sa mère et lui affirma qu'elle savait où se trouvait son frère mais qu'il refusait d'en sortir pour le moment. Pressée par Jack, Carmen n'eut pas le temps d'aller trouver son enfant et s'élança vers l'autel. Aidrian s'était enfermé dans un placard, espérant secrètement que sa mère vienne le chercher et annule son mariage parce qu'il n'en serait pas sorti. Mais le petit garçon s'était trompé sur toute la ligne. Sa mère était partie se marier avec son nouvel amoureux et lui, il était bloqué dans son placard. Il faisait sombre, il était à l'étroit, très à l'étroit. Le blondinet commença à angoisser. Pourquoi n'était-on pas venu le chercher ? Pourquoi l'avait-on laissé seul ?! C'était à cause de Jack ! Il le savait ! Il commença à haleter. Puis il tente d'ouvrir la porte mais elle semblait bloquée. Panique ! Il se mit à hurler et à cogner la porte de ses petits poings. Qu'on le sorte de là ! Qu'on vienne le chercher, l'aider ! Et puis, tout d'un coup la porte s'ouvrit. Une grande-tante venait de le libérer. Il la regarda du haut de ses cinq ans et lui jeta un regard mauvais. Elle faisait parti de la famille de Jack. Pas un merci, rien. Il s'en alla à petits pas et alla trouver sa sœur. La cérémonie allait prendre fin et la fête allait commencer. Carmen retrouva son fils, s'inquiéta pour lui et lui fit promettre de ne plus jamais recommencer. Et si le petit Aidrian accepta, c'est parce qu'il était devenu claustrophobe mais sa rancœur envers Jack n'était pas prête de disparaître.

Chapitre deux _ When the magic comes

Trente janvier. Aire de jeux.

Aidrian et Lili étaient sortis prendre l'air et jouer au ballon. Mais cette après-midi qui s'annonçait tranquille prit une tournure toute différente à la fois dramatique et réjouissante. Deux garçons étaient assis sur un banc près des Grahams.

« Pourquoi Aidrian reste tout le temps collé à sa soeur ? Je suis sûr qu'il est sympa mais il vient jamais vers nous. »

« Tu voudrais être ami avec lui ? Tu rigole ! On dirait une vraie mauviette.»

Le pauvre garçon avait prononcé sa phrase un peu trop fort et Aidrian l'avait entendu. Alors qu'il avait huit ans, le blondinet parvenait mal à contrôler ses émotions et changeait souvent d'humeur très rapidement. Cette fois-ci n'échappa pas à la règle. On l'avait traité de mauviette, il ne pouvait pas laisser faire ça. Il fit volte-face. Lili lui attrapa rapidement le bras car elle avait deviné les intentions de son frère.


« Non ! Aidrian contrôle toi ! »


S'il s'échappait brusquement de l'emprise de sa sœur, il risquait de lui faire mal et il ne le voulait pas. Par contre, l'envie de frapper celui qui l'avait insulté était toujours présente. Et c'est alors que le ballon avec lequel il jouait tranquillement auparavant s'éleva dans les airs et alla s'écraser sur la tête du petit garçon. Ce dernier ne demanda pas son reste et s'en alla en criant, suivi de près par son ami qui hurlait qu'Aidrian était fou. Un silence s'installa entre Lili et son frère. Les pouvoirs du jeune blond venaient de s'éveiller, un peu plus tard que la moyenne mais tout de même. Lili sauta au cou de son frère. Il était magicien ! Ils rentrèrent à la maison et Carmen sauta de joie elle aussi. Le seul qui ne semblait pas se réjouir était Aidrian. Il était heureux d'être magicien mais les pouvoirs de sa sœur n'avait pas encore fait surface alors qu'elle était plus âgée que lui. Il avait un mauvais pressentiment... Qui se révéla vrai car jamais les pouvoirs de Lili ne se manifestèrent. Elle était une cracmol, ils allaient être séparés.




Chapitre trois _ One leaves, the other stays

Douze juillet. Onzième anniversaire d'Aidrian.

Il pleuvait mais tous les membres de la famille McStom - Grahams s'agitaient. Tous sauf un : Aidrian. Lui, dormait paisiblement à l'étage alors que sa mère, sa sœur et son beau-père cuisinaient, rangeaient, nettoyaient, riaient doucement et emballaient les cadeaux. Et oui, même Jack, le beau-père de Lili et Aidrian, semblait joyeux à l'idée d'organiser un petit quelque chose pour l'anniversaire du garçon. Oh ! Rien de grandiose mais un petit repas sortant de l'ordinaire, un bon gâteau et des cadeaux. Lili, elle, était surexcitée et sa mère était heureuse en pensant à cette journée qui allait se dérouler dans la joie et la bonne humeur en famille. Elle espérait grandement qu'Aidrian laisse l'animosité qu'il éprouvait pour Jack de côté, rien qu'un jour. Lorsque dix heures sonnèrent, Lili alla réveiller son frère et le conduisit au salon. Aidrian découvrit alors que la pièce était joliment décorée, qu'un gâteau appétissant l'attendait ainsi que trois cadeaux. Sa sœur se serra fort contre lui tout en criant

« Bon anniversaire mon adoré ! »

Puis sa mère l'embrassa sur les deux joues et Jack le gratifia d'un sourire. Aidrian leur sourit à son tour. Même si cela pouvait sembler peu pour certains, l'effort qu'ils avaient fait de se lever tôt, de cuisiner et de tout décorer lui réchauffait le cœur. Il dévora une part de gâteau puis ouvrit ses cadeaux. Lili lui avait offert une chaîne qu'il attacha immédiatement à son cou. Sa mère lui avait acheté un livre et son beau-père une jolie chemise. En cet instant, Aidrian considéra Jack autrement et mit légèrement sa rancune de côté. Jamais il ne le considèrerait comme son père mais, pour la première fois, il avait tout de même l'impression qu'il était un membre de la famille à part entière. Carmen le lut sur le visage de son fils et laissa échapper une petite larme. Cette journée était déjà bien riche en émotion mais cela n'allait pas s'arrêter là. En effet, en milieu d'après-midi eu lieu un évènement qui changea le cours de la journée et même celui de la vie du jeune homme. Alors que les quatre personnes habitant cette petite maison irlandaise jouaient à un jeu de société, un hibou se posa sur le rebord de la fenêtre et cogna contre la vitre. Tous quatre relevèrent la tête en même temps.

« Vas lui ouvrir, ce doit-être pour toi Aidrian. »

Aidrian se leva, ouvrit la fenêtre et aperçu alors que le volatile avait une enveloppe attachée à son pied. Ça n'était pas la première fois qu'un hibou portait une lettre à la maison, mais cette fois-ci c'était différent, il le savait. Le jeune garçon lança un regard aux deux adultes. Jack lui dit avec de l'empressement dans la voix :

« Qu'attends-tu ? »

Aidrian poussa un soupir et détacha la lettre de la patte de l'oiseau puis le regarda s'envoler. Il referma la fenêtre et retourna s'asseoir près de sa famille. Il regarda le cachet et comme il s'en doutait, s'était une lettre de Poudlard. En effet, quelques années plus tôt, ses pouvoirs magiques s'étaient révélés et il fêtait en ce jour son onzième anniversaire. Cette lettre allait lui annoncer qu'à partir du premier septembre de cette année, il irait étudier au collège Poudlard. Plusieurs sentiments envahirent alors la poitrine du blondinet. Tout d'abord la joie et la fierté car cette lettre prouvait qu'il était un véritable sorcier. Mais il ressentait aussi de la honte car sa grande sœur Lili n'avait pas reçu de lettre lors de son anniversaire. La demoiselle était une cracmol. Aidrian allait pouvoir goûter un peu à la liberté mais en l'absence de sa sœur il n'y voyait pas trop d'intérêt. Il se retourna vers elle. Elle lui adressa un sourire triste. Elle était heureuse pour son frère mais elle avait du mal à imaginer qu'elle allait être séparée de son adoré. Alors Aidrian s'approcha d'elle et la serra contre son cœur. Il lui murmura à l'oreille :


« Je t'écrirais dès que j'aurais du temps libre Lili. Je te le promets. »




Chapitre quatre _ The little boy can be the big bad Wolf

Vingt-quatre septembre. Volière.
«
Voilà vingt-quatre jours que je suis arrivé à Poudlard et il s'est déjà passé un nombre incalculable de choses. Tout ici est surprenant et merveilleux. Chaque objet, chaque pièce, chaque recoin du château me semble vivant. Au début, je ne savais pas trop où donner de la tête mais je commence à m'habituer. J'ai des cours tous les jours sauf le samedi et le dimanche. C'est passionnant d'apprendre la magie ! Enfin certain cours comme l'Astronomie et l'Histoire de la magie sont un peu ennuyants quand même. Les professeurs sont exigeants et j'ai bien l'impression de ne pas avoir le droit à un seul faux pas. Pourtant je me laisse parfois aller à paresser. Tu me connais, si tu n'es pas derrière moi... D'ailleurs venons en à toi ! Sais-tu à quel point tu me manques ?! Il n'y a pas un seul jour qui s'écoule sans que je n'ai au moins une pensée pour toi. Et Merlin sait que je suis occupé pourtant ! Bien sûr, ici j'ai rencontré des gens sympathiques mais jamais aucun ne pourra remplacer ta présence. Et je t'avoue que sans toi je suis un peu perdu, nerveux même.

Je dois te raconter ce qu'il m'est arrivé il y a deux jours. Oh ! Je sais bien que tu vas me râler dessus après et que tu vas me traiter d'idiot mais c'était plus fort que moi... Tout d'abord il faut que tu sache que ça n'est pas moi qui ai commencé. Oui c'est puéril de dire ça mais c'est bien la vérité. Je suis quelqu'un d'impulsif mais je ne suis pas un psychopathe qui va chercher des mornilles au premier venu. Qui sont-ils ? Je ne le sais pas exactement. Un garçon de troisième année et son fidèle bras droit, aussi bête qu'un troll. Je les ai rencontré dans le train. En effet, j'ai eu le malheur de vouloir m'asseoir dans leur wagon. Je me suis fait recaler illico-presto ! Mon arrivée à Poudlard commençait mal... Mais bon, je me suis assis ailleurs avec des personnes de mon âge et cela s'est beaucoup mieux passé. Mais bref, là n'est pas le sujet ! Je disais donc qu'ils m'avaient refusé l'entrée de leur wagon. Il semblerait que c'est à cet instant même qu'ils m'ont pris en grippe. Après la cérémonie de répartition, dont je t'ai parler dans ma première lettre, ils m'ont pris au piège dans un coin et ont commencé à m'insulter. Ils ont continué pendant plusieurs jours. Ils me répétaient que je leur faisais pitié avec mes bras de moustique et mon visage de fille. J'ai laissé faire. Après tout, qu'est ce que j'en avais à faire de ce qu'ils me disaient ? Mais il y a deux jours, celui qui se prenait pour un leader a dépassé les bornes : alors que je commençais à m'en aller pour ne plus avoir à entendre ce qu'ils me disaient, l'un des deux m'a attrapé par le bras. Ni une ni deux je me suis retourné et je lui ai mis mon poing dans la figure. Il était plus grand et plus fort que moi mais ma rapidité l'a surpris et j'ai même eu le temps de lui placer un coup de pied dans le tibia. Ce que cela m'a soulagé ! Tu sais à quel point j'aime cogner, même si je sais que ça n'est pas bien. J'ai réussi à reprendre le dessus sur mon envie de les frapper encore et encore et je me suis enfui à toutes jambes. Je crois que j'ai bien fait car ils étaient tout de même sacrément plus grands que moi et puis surtout ils étaient deux. Le pseudo-chef a quand même eu un œil au beurre noir et ça j'en suis plutôt fier ! Oui... je t'entends déjà me traiter d'irresponsable... Pour l'instant pas de représailles et je ne pense pas qu'elles arriveront de toute façon. J'ai par contre effrayé une fille de mon année, je crois que je devrais la trouver et aller m'excuser. Tu me connais, quand je frappe je ne suis plus vraiment moi-même.

Sur ces mots je te quitte mon adorée car il faut que je m'entraîne à jeter un sort. Tu me manques terriblement, je te l'ai déjà dis, je te le redis et redirais encore.

PS : Embrasse maman »




Chapitre cinq _ What a man ?

Neuf août. Fête de famille. Autant dire l'horreur pour les deux enfants Aidrian et Lili alors âgés de quatorze ans. Ils détestaient tous deux cette fête qui avait lieu tous les ans sans exception. Leur mère disait que les tantes étaient toujours ravies de les voir et leur beau-père en profitait pour leur placer un sermon sur les valeurs familiales qu'ils ne respectaient pas. Ô joie, ô bonheur, la journée s'annonçait merveilleuse. Heureusement ils étaient ensemble pour se soutenir. Ils se rendirent tout les quatre dans le parc réservé pour l'occasion. Il faisait beau et une brise légère empêchait l'air d'être étouffant. Tout était verdure dans cet endroit et la famille entièrement réunie discutait gaiement sous les parasols. Mais personne n'était dupe, la plupart des gens présents ici ne s'entendaient pas. Aidrian et sa sœur se demandait pourquoi alors ils s'obstinaient à se retrouver chaque année. Lili s'éloigna un instant pour aller chercher des rafraichissements et le jeune garçon poussa un soupir lorsqu'arriva Jeremiah Sheperd, leur cousin. Il était grand, fin mais élancé. Il possédait une crinière d'un noir de jais qui contrastait si parfaitement avec la blondeur d'Aidrian que l'on jurait qu'ils n'étaient pas liés par le sang. Mais plus que ce corps à se damner et ces cheveux qui encadraient son visage pâle, ce que l'on retenait chez Jeremiah c'était son regard : deux yeux d'un bleu d'acier qui lorsqu'ils se posaient sur vous vous faisaient frissonner. Et c'est à l'instant même où le jeune Grahams aperçu son cousin qu'il connu ses premiers émois amoureux. Cette fête de famille qui s'annonçait être un calvaire semblait tourner à l'avantage d'Aidrian. Mais le jeune garçon n'avait alors que quatorze ans et Jeremiah était déjà âgé de seize ans. Deux ans seulement les séparaient mais à l'heure où l'un entrait dans la fleur de l'âge, l'autre découvrait tout juste ce qu'était un homme et la relation amoureuse semblait alors impossible. Mais Jeremiah se prit tout de même d'affection pour son petit cousin qui le regardait avec tant d'admiration. Et les deux garçons passèrent la journée à l'ombre d'un saule pleureur, chastement enlacés, parlant de tout et de rien. Le soleil déclina vite et le retour à la réalité fut brutal : Lili alla chercher son frère car il était l'heure de partir et gratifia Aidrian d'une magnifique crise de jalousie. Alors qu'il avait passé la journée sur un petit nuage, elle , elle s'était ennuyée à mourir et voilà qu'elle voyait son adoré aux anges dans les bras de quelqu'un d'autre ! Un homme qui plus est. Sur le chemin du retour, qui se déroula dans un grand silence car les parents s'étaient disputés, Aidrian commença à se sentir coupable. Le visage délicat de Jeremiah hantait toujours ses pensées mais l'idée d'avoir abandonner sa sœur l'espace d'une journée s'insinuait doucement dans son esprit. Arrivés à la maison, Aidrian s'en voulait énormément. Il alla donc frapper à la porte de la chambre de sa sœur et s'installa sur son lit sans demander la permission. Il la fixa. Et après une minute d'un silence pesant, Lili alla s'asseoir près de lui.

« Excuse moi pour tout à l'heure. »

« C'est moi qui m'excuse de t'avoir abandonner comme ça. Mais... j'étais comme aveuglé. C'était tellement étrange. »

« Oui, t'es tombé amoureux enfait... »

« Amoureux d'un gars ? N'importe quoi !»

Lili regarda son frère dans les yeux et lui sourit. Aidrian lui rendit son sourire puis ils se mirent à rire aux éclats. Le jeune homme compris dès lors que, bien qu'une jeune fille pouvait le charmer, il était plus attiré par les hommes. Mais ce qu'il retint surtout de cette journée c'est que quoiqu'il arrive, quoiqu'il devienne, sa sœur Lili serait toujours là pour lui. Et pourtant, à Poudlard il cachait toujours son existence, comme s'il avait peur de ce que les autres pourraient dire s'ils savaient... Était-ce pour se protéger lui ou bien pour la protéger elle ? Il ne le savait pas vraiment.

Chapitre six _ One more time


▬ et plus si affinités ...



▬ miroir de rised

Eh bien, re bienvenue ! o/

Contente que tu reviennes, tu étais partis en Allemagne, c'est ça ?
Le forum est en période de reconstruction, on compte recommencer l'année à zéro, entre autre ... Si tu as des questions, n'hésites pas !
Mais dès que tu as fini ta fiche, on te valide

Je viens d'apprendre que je pars demain en vacances.... merci les plans de dernière minute. Ca ne dérange pas si je ne finis ma fiche que dans dix jours ?

Pas du tout, je pars en vacances dimanche perso, j'aurai internet mais pas tout le temps et puis il nous faut le temps de tout remettre à zéro
T'inquiète pas !

yeah ! j'me demandais quand t'allais revenir, vu que t'avais dit juillet (:
c'était bien l'Allemagne ?

enfin, rebienvenue, donc ! =)

comme Alyss te l'as dit, on remet tout à zéro, donc, au pire, tu as jusqu'à la réouverture pour finir ta fiche ;D

Si vous avez besoin d'un coup de main je veux bien vous aider à remettre le forum sur pied !